Et de sept !

Ramel Bradley a été le seul Dijonnais à surnager

Même si l’on pressentait d’avance le résultat, le fait de jouer contre un promu qui performait très fort à l’extérieur mais un peu moins à domicile nous avait laissé quelques espoirs. Et pourtant comme les Arabes, Dijon fut arrêté à Poitiers (75-62), avec Tommy Gunn dans le rôle de Charles Martel.

En cause (une fois encore) un départ catastrophique que le coach ne parvient décidément jamais à expliquer. Pire, il semble s’en étonner à chaque fois alors que tout le monde l’annonce à l’avance. Il y a vraiment quelque chose qui ne tourne pas rond…

La JDA a pourtant recollé très près en fin de rencontre sur les ailes d’un Ramel Bradley, enfin revenu à un niveau décent. Mais l’espoir ne fut que de courte durée puisque Poitiers a remis à nos vaillantes et téméraires troupes un bel éclat dans le money time qui scellait définitivement le sort de la rencontre.

Pour résumer, on perd honorablement contre des grosses équipes, ce qui en soit n’est pas si mal, mais on ne gagne pas plus face à nos adversaires directs pour le maintien. Comment vous dire qu’aujourd’hui je cherche un motif d’espoir…

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