Ça y est, c’était programmé, le baril a sauté (cf l’article « Le match de la dernière chance »).
Un peu comme on programmerait le lancement d’une fusée à Cap Canaveral, nous avions programmé l’explosion de notre baril de poudre. Elle s’est déroulée sans encombre, hier soir à 20 heures 0 minute et 32 secondes, comme le prévoyait le plan. Le bruit sourd de la déflagration a duré fort longtemps, jusqu’à 21h30 environ diront certains Alsaciens (les plus près du phénomène géographiquement parlant).

Reste maintenant dans ce paysage lunaire à retrouver les victimes de ce dommage collatéral. On en connait déjà un, il se nomme Nick Fazekas, victime de l’essai en laboratoire quelques jours plus tôt.

Pour le D-Day, le grand jour, l’aboutissement d’un gros mois de travail acharné de destruction de l’un des effectifs les plus prometteurs jamais vu à la JDA, le plan a parfaitement fonctionné. Mais l’incertitude demeure sur l’identité de la nouvelle victime, celui qu’on avait pris soin d’installer confortablement sur le baril avant une mise en orbite, loin, très loin, pour ne plus le revoir.

Pour l’instant les recherches sont en cours pour identifier le malheureux, recherches qui devraient désigner vraisemblablement Dessarzin, Bradley ou peut-être – qui sait – Sudre. A moins que la victime désignée ait survécue cette fois, mais ça ne devrait être que partie remise.

Après cette déroute alsacienne (101-73), il ne fait en tout cas pas de doute que de nombreux supporters attendent que des têtes tombent. Et pas seulement chez les joueurs mais aussi au sein du staff et chez les dirigeants…