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JDA 2021 - 2022
 
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JDA 2021 - 2022

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 win
(@win)
Estimable Member
Inscription: Il y a 6 ans

La présence de JLB dans les hautes instances est pas censée nous "aider" ?

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JLou
Posts: 13463
 JLou
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(@jlou)
Illustrious Member
Inscription: Il y a 5 ans

Ce qui est incompréhensible, c'est qu'en février il y a un trou dans le calendrier du à l'annulation de la LC.

Et février c'est demain. Alors faut qu'on m'explique pourquoi on ne peut pas repousser ce match pendant cette période. 

Il y en a marre de cette ligue qui n'arrête pas de prendre des décisions débiles et surtout sans fondement. 

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1 Réponse
(@prosper)
Inscription: Il y a 8 ans

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Posts: 5261

@jlou 

Tout à fait d'accord !

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Posts: 652
 FCLC
(@fclc)
Noble Member
Inscription: Il y a 7 ans

Le pire c’est que tu pénalises les clubs qui sont européens. La ligue devrait au contraire les protéger. 

Leur incompétence n’a d’égale que leur stupidité. 

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1 Réponse
(@c-c-dijon)
Inscription: Il y a 3 ans

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Posts: 1417

@fclc ils n'ont plus à faire leurs preuves là dessus...

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JLou
Posts: 13463
 JLou
Début du sujet
(@jlou)
Illustrious Member
Inscription: Il y a 5 ans

Je vous propose les stats de Carrington en BE :

Joueur - LNB

C'est quand une sacrée bonne pioche

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9 Réponses
(@damedolla)
Inscription: Il y a 7 ans

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@jlou club des 50/40/90. Très estimable ! Si il fait une saison complète dans ces eaux il va faire x2/x2,5 son salaire donc on pourra l’oublier malheureusement

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Philippe Mauris
(@philippe-mauris)
Inscription: Il y a 8 ans

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Posts: 1092

@damedolla 

Pas sur néanmoins qu'il est un profil Euroleague. 

Si le club avait la bonne idée de négocier de suite pour la saison prochaine en faisant jouer aussi David pour le convaincre, sa serait vraiment cool, car je pense que c'est un joueur qui aura encore besoin d'un an avant de vraiement dominer au niveau des gros championnat.....

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(@c-c-dijon)
Inscription: Il y a 3 ans

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@philippe-mauris apparemment ce serait le cas, les discussions sont en cours

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(@damedolla)
Inscription: Il y a 7 ans

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@c-c-dijon wow 

magnfique 

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(@damedolla)
Inscription: Il y a 7 ans

Famed Member
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@philippe-mauris je ne pense pas non plus qu’il ait le niveau ni le potentiel, ni même pour des top team européennes  (style Bologne et autres grosses équipes de Eurocup)

Mais c’est un très bon joueur de basket, avec un bagage complet, qui peut être vraiment dangereux les soirs où il veut mettre des tirs de loin.

Un joueur vraiment valuable pour des équipes qui veulent aller loin en BCL ou des équipes de fin de tableau eurocup.

Ça se paye !

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Philippe Mauris
(@philippe-mauris)
Inscription: Il y a 8 ans

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Posts: 1092

@damedolla 

 

effectivement cela peu devenir un bon joueur d'Eurocup à terme. Après taille un peu limité pour l'EL 

 

Si effectivement les discussions sont en cours alors prions pour que cela aboutisse rapidement et que notre back court soit déja constitué, car n'oublions pas Saibou est sous contrat.... 

 

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(@daniel21)
Inscription: Il y a 4 ans

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Posts: 693

@damedolla Quand je compare les équipes jouant en BCL àcelles  d'eurocup je ne constate pas un tel écart de niveau.

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(@damedolla)
Inscription: Il y a 7 ans

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@daniel21 l’écart est pas énorme oui

Mais Levallois / Joventut / Trento / Andorre C’est fort.

Le partizan a un niveau EL. Valence aussi. Sans parler de Bologne qui a tout pour aller plus haut. 

Les équipes moyennes sont peut être moyennes d’accord… mais le haut du panier est clairement au dessus je trouve.

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(@nibua8821)
Inscription: Il y a 8 ans

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Posts: 5282

@damedolla 

Trento tu peux enlever, clairement en-dessous des équipes citées. Lokomotiv Kuban à ne pas oublier. 

L'Eurocup reste encore bien plus forte que la BCL

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Posts: 2715
(@damedolla)
Famed Member
Inscription: Il y a 7 ans

Après, il a eu une grosse blessure qui a bien freiné son parcours, et les carrières ne sont pas toujours linéaire, cette 2021-2022 peut être un vrai tremplin pour lui. 

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JLou
Posts: 13463
 JLou
Début du sujet
(@jlou)
Illustrious Member
Inscription: Il y a 5 ans

Il faut prendre en compte que la saison prochaine 2022-2023 il y aura 3 descentes, de quoi faire peur à beaucoup d'équipes. Et du coup, beaucoup de clubs vont essayer de s'armer pour éviter les 3 dernières places.

Ce surarmement aura un coût, il faudra avoir une MS solide.

Une prolongation de KC irait dans ce sens pour ce qui concerne la JDA. Je croise les doigts pour que ça se fasse.

 

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JLou
Posts: 13463
 JLou
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(@jlou)
Illustrious Member
Inscription: Il y a 5 ans
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5 Réponses
(@rutciv)
Inscription: Il y a 8 ans

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Posts: 2288

@jlou Faut être abonné pour lire l'article 😂

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JLou
 JLou
(@jlou)
Inscription: Il y a 5 ans

Illustrious Member
Posts: 13463

@rutciv 

Désolé 

Et très long pour le copier 

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JLou
 JLou
(@jlou)
Inscription: Il y a 5 ans

Illustrious Member
Posts: 13463

@rutciv 

Voilà, j'ai épuré l'article pour ne laisser que le réponses de FR :

En quoi consiste votre rôle au sein du club ?

Fabien Romeyer, directeur sportif de la JDA Dijon : « Je suis arrivé en mars 2021 en tant que directeur sportif, chargé de véhiculer la vision du club auprès de tous les acteurs sportifs de la structure. Cette fonction à la JDA, telle que je l’ai définie, s’articule autour de six pôles : un pôle performance, c’est-à-dire la gestion relationnelle et du recrutement de la section sportive professionnelle, des joueurs, des coaches et du staff médical ; un pôle avenir, où je suis en responsabilité du centre de formation, ce qui est assez large à Dijon puisqu’on travaille main dans la main avec l’association, en montant notamment un projet de formation des U7 aux espoirs ; un pôle organisation : la gestion des déplacements des joueurs, en collaboration avec les team managers ; le pôle relationnel : communiquer de manière permanente avec la LNB, la FFBB, la BCL pour gérer les informations importantes comme les reports de matches par exemple ; le pôle financier : rentabiliser et négocier les signatures de contrats par rapport à la masse salariale ; et enfin le pôle innovant : toujours être en mouvement et regarder ce qui se fait ailleurs pour essayer d’avoir un coup d’avance. C’est un rôle polyvalent mais surtout en lien avec le terrain, pour coller à ce que j’avais fait avant. Je suis arrivé ici car Jean-Louis Borg (NDLR : general manager) m’a appelé en novembre 2020. Il souhaitait prendre du recul en prenant un ancien coach avec lequel la JDA aurait des affinités dans l’identité de jeu dans un rôle de directeur sportif. Je l’ai donc repris à Jean-Louis, qui avait une casquette beaucoup plus large. »

 

Avant d’arriver ici, quel était votre background ? Ces expériences vous aident-elles à mieux appréhender votre fonction telle qu’elle est définie dans votre club ?

Fabien Romeyer, directeur sportif de la JDA Dijon : « Depuis une bonne dizaine d’années, j’étais coach en Nationale 1, en Pro B à Saint-Etienne, Vichy, Lille et Aix Maurienne. Je ne coache plus depuis 2018. Passer de coach à directeur sportif, c’était une envie. A défaut de savoir ce que je voulais faire, je savais ce que je ne voulais plus faire. Je ne voulais plus être dans ce rythme « j’entraîne, je coache, je recrute ». Il n’y avait pas de plus pour autre chose, et je cherchais quelque chose de plus diversifié. Quand je demandais dans de précédents clubs d’avoir un regard sur les déplacements ou le centre de formation, c’était souvent chasse gardée, et très compliqué de faire bouger les lignes. On perdait de l’énergie sur des choses qu’on ne pouvait pas bouger et ça se répercutait sur l’équipe. C’est pour cela que j’ai passé un diplôme de directeur sportif qui, au final, m’a vraiment bien plu, avec des interventions de Jean-Louis Borg, Fred Sarre, Claude Bergeaud, et d’autres sports. L’idée avait déjà mûrie. Je voulais être acteur de plus de paramètres que le simple terrain, et avec l’objectif de mettre mon coach dans les dispositions dans lesquelles j’aurais aimé être quand j’étais à cette place. Avec le coach, on n’a presque pas besoin de se parler. Quand on va commencer à négocier un déplacement, je n’ai pas besoin de lui demander ce qu’il souhaite, on lui donne directement la finalité. Et il sait qu’on a tout mis en oeuvre pour que l’équipe soit dans les meilleures conditions avec les moyens que l’on a. Je me retrouve largement plus dans cette fonction que ce que je faisais il y a quelques années. C’est évident. »

 

« En sept-huit ans, la JDA Dijon a fait un bond incroyable. Dans les bureaux, on est passé de trois à 15 personnes. » – Fabien Romeyer, DS Dijon

Comment situez-vous la structuration de votre club parmi ceux de Betclic Elite ?

Fabien Romeyer, directeur sportif de la JDA Dijon : « En sept-huit ans, la JDA a fait un bond incroyable. Dans les bureaux, on est passé de trois à 15 personnes. Cette structuration est l’oeuvre de Jean-Louis Borg, Thierry Degorce (NDLR : président), Nathalie Voisin, qui ont fait un travail colossal dans une logique d’entreprise. Pierre après pierre, ils ont construit ce club, ils l’ont remis sur de bons rails et ils ont récolté la juste récompense de leur travail sur les 2-3 dernières saisons. Il y a eu une logique de stabilisation de l’effectif, au niveau du staff comme des joueurs. C’est un travail global. »

Quels seront les futurs principaux axes d’évolution et de développement au sein du club ?

Fabien Romeyer, directeur sportif de la JDA Dijon : « Notre développement part d’un postulat : l’événement match en lui-même ne permet pas d’avoir des rentrées d’argent suffisantes pour pouvoir se développer. Si on fait une belle saison, on va peut-être avoir 10-15 % de plus parce que de nouveaux partenaires arrivent, la billetterie fonctionne. Si on fait une mauvaise saison, 10-15 % de moins. Ce n’est pas ça qui va faire que la saison d’après, on va être en difficulté ou on va avoir plus de moyens. Donc le match en lui-même ne sert plus de prétexte financier. En revanche, il faut diversifier ses moyens. C’est la voie qui a été prise à Dijon. Nous, on veut diversifier nos rentrées d’argent en diversifiant notre offre. On ne veut pas être « JDA Dijon », mais « le groupe JDA Dijon », avec à la fois le côté sportif avec le basket et le hand, et le côté société immobilière, restaurant, domaine viticole, société de nettoyage, de communication, etc. Et à terme, quand il y aura une rentabilité de ces organismes, il y aura un impact sur l’équipe première. C’est une vraie logique d’entrepreneurs. Je ne crois pas me tromper en disant que Bourg a un développement avec une idée similaire, le match est un prétexte mais, avant et après le match, on vient consommer et profiter au 10 55. Chacun a son idée de développement mais nous, elle est essentiellement entrepreneuriale, et pas liée uniquement au basket. Concernant l’évolution structurelle au niveau du basket pur, il nous faut principalement une unité de lieu. Pour moi, c’est indispensable, il nous faut une salle, une infrastructure qui nous appartienne. Actuellement, on partage le Palais des Sports avec le hand masculin et féminin. Je ne sais pas si ça pourra être fait mais il nous faudrait plusieurs terrains, pour que tout le monde puisse en profiter en même temps, il nous faut un pôle médical, récupération, prépa physique, musculation et de restauration sur place. Le dossier de JDArena n’est pas fermé, devra-t-on ou pourra-t-on rénover le Palais des Sports ? Devra-t-on changer de site ? Je ne sais pas, ce ne sont que des projets, et ce n’est pas à moi de prendre ce genre de décisions, mais tels sont notre projets d’évolution. Dans le même temps, il faudra aussi limiter notre temps dans les transports pour gagner du temps de récupération et passer un cap sur notre pôle médical. »

Où en est votre club financièrement ? Comment le club a-t-il traversé la pandémie ?

Fabien Romeyer, directeur sportif de la JDA Dijon : « Je ne pourrai pas vous donner une réponse précise, je ne suis pas directeur exécutif, mais je peux vous dire que le Covid a plusieurs impacts. Financier, c’est évident, par exemple d’avoir mis des jauges dans les salles, c’est une chose, mais tous les salons ou autres manifestations qu’on avait prévus fin décembre sont tombés à l’eau. Mis bout à bout, ça touche forcément, même si, au final, si on lit les rapports de la LNB, on voit que les clubs n’ont pas été si impactés que ça. Il faut dire que l’Etat a vraiment suivi. Et humain aussi. Au lieu d’être 15, il nous est arrivés d’être 4 dans les bureaux car tout le monde était en télétravail. Ça a un impact sur la vie de groupe, d’autant plus à la JDA qui est un groupe dont la volonté est de toujours rester en mouvement. »

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(@rutciv)
Inscription: Il y a 8 ans

Famed Member
Posts: 2288

@jlou Merci

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(@mathb)
Inscription: Il y a 3 ans

Noble Member
Posts: 1038

@jlou merci pour le partage

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