Je trouve que ça joue bien ce soir surtout notre us team
Cette saison c'est pas de rebonds (récurrent) pas d'agressivité en attaque (pas de fautes provoquées surtout sans Hrovat) et pas de passes décisives (surtout avec NM) nous sommes à notre place et si défaite mercredi, il y aura grand danger.
C'est bien de supporter cette équipe coûte que coûte, mais on voit que ça ne suffit pas. Peut-être faudrait-il piquer les joueurs avec une ou 2 banderoles. Mais bon on sait que ce n'est pas le genre de la maison...
La JDA est 13ème, avec notre MS c'est tout simplement une honte. Il faudrait le faire savoir aux joueurs, piquer leur amour propre.
On voit une bouillie de basket depuis le début de la saison et je crois que ça serait du pareil au même avec n'importe quel coach.
Moi, j'en veux aux joueurs qui sont dans leur petit confort, bien payés et qui n'ont pas envie de se faire mal.
Mis à part Holston et Hrovat, les autres n'ont pas les crocs.
Contre St Quentin, les stats du 4ème quart-temps face à cette vaillante Équipe sont affligeante pour la JDA.
4ème quart-temps : seulement 1 Point en 7'30", 1/4 aux Lf et 5 Rebonds pour 16 concédés dont de trop nombreux rebonds Offensifs.
D'ailleurs, en Betlic ÉLITE, le bilan de Legname en 15 Matchs n'est pas mieux que celui de Markovic (tant décrié par certains sur ce Forum) 🙄
▪︎Soit en 15 matchs coachés par NM, son bilan était de 6 Victoires pour 9 Défaites.
▪︎Le bilan de son successeur LL, c'est actuellement du quif quif, car il est lui aussi de 6 Victoires pour 9 Défaites.
Alors, il est où cette Saison le blème dans cette Équipe ... !? 🤔
[ That's the Question ... ⁉️ ]
Serrer vos couilles croisées de Pletex pour la que jl gagne car sinon les choucrouteux vont être en pleine confiance pour nous
Intéressant : France Bleue Bourgogne
Michel Renault, ancien président de la JDA Dijon : "On gagné la Coupe de France, pas facilement non plus !"
En 2006, la JDA Dijon remportait la Coupe de France de basket. 18 ans plus tard, alors que la Jeanne va défier Strasbourg pour un deuxième titre dans cette compétition, Michel Renault, président du club entre 1998 et 2015, ouvre la boîte à souvenir pour France Bleu Bourgogne.
La JDA Dijon n'est plus qu'à un match de soulever un trophée : la Coupe de France de basket. Il faudra pour cela battre la SIG Strasbourg, samedi 27 avril 2024, à Paris-Bercy. Une finale de Coupe de France, le rendez-vous rappelle des souvenirs aux supporters de la Jeanne. En 2006, la JDA s'imposait contre Orléans, remportant le seul titre de son histoire dans cette compétition
Une équipe entraînée par Jacques Monclar, avec des noms qui résonnent : Laurent Sciarra, Mario Bennett, Ali Bouziane, T.J. Lux... entre autres ! Et présidée par Michel Renault, à la tête du club pendant 17 ans, entre 1998 et 2015. L'ancien président, près de 80 ans aujourd'hui, toujours actif comme promoteur immobilier, nous reçoit dans son bureau et ouvre la boîte à souvenirs pour France Bleu Bourgogne.
France Bleu Bourgogne - Quel est votre souvenir le plus marquant de cette finale remportée en 2006 ?
Michel Renault - La satisfaction. La finale, c'est quand même un souvenir important. On avait quand même Jacques Monclar, notre entraîneur, qui à l'époque avait fait venir le meneur de jeu, Laurent Sciarra. On avait une équipe de joueurs solidaires. "Vato" Natsvlishvili, T.J. Lux, Bennett, Monnet, Bouziane... et on gagné la Coupe de France, pas facilement non plus, on a mis que 66 points et on en a pris 58 quand même. C'est un excellent souvenir, c'était le premier trophée en Coupe de France, qu'il n'y a pas eu depuis.
Sur vos 17 ans comme président de la JDA, comment situez-vous cette victoire en Coupe de France ?
Tout de suite après la semaine des As (l'ancêtre de la Leaders Cup, remportée à Mulhouse, en 2004, ndlr), qui était le premier trophée. Avec une ambiance particulière parce qu'on a fait trois matchs (Villeurbanne, Nancy, Le Mans) gagnés de deux points, un vrai suspense.
Après, la Coupe de France. Normalement, on aurait dû être battus à Angers par Gravelines (en quarts) ou par Pau (en demie). Tout était possible !
La fête après la victoire est passée à la postérité dans la mémoire des supporters !
La fête au Palais des sports... un traiteur avait été prévu pour 300-400 personnes, on s'est retrouvé à 600 ! Il y a eu une ambiance très tardive. Les supporters étaient arrivés en premier par le train. Ensuite on a récupéré les joueurs, on les a présenté, avec la coupe bien sûr, à ceux qui étaient là, y compris beaucoup de bénévoles.
On avait un partenariat avec la SNCF. Le directeur, qui était très sportif, rugbyman, nous avait offert un TGV complet, gratuit, pour faire venir les spectateurs. Un TGV, plus quelques véhicules. Il y avait une ambiance extraordinaire.
Un pronostic sur la finale de cette année, JDA Dijon - SIG Strasbourg ?
Strasbourg a été battu il y a trois semaines à Dijon. Ils vont vouloir certainement se rebiffer. Mais je pense qu'on a les moyens de gagner la finale, la JDA doit pouvoir gagner.
Aujourd'hui, continuez-vous de suivre les résultats du club ?
Ah oui ! Je suis régulièrement. Cette année, c'est un peu compliqué. Il y a eu des blessures, le changement d'entraîneur, ça j'étais surpris parce qu'il (Nenad Markovic, ndlr), n'était pas si mal que ça. Laurent Legname, qui venait d'être viré de Gravelines revient à Dijon, il était parti pour Bourg-en-Bresse, c'est toujours compliqué. De vous à moi, je ne suis pas sûr qu'il soit encore là l'année prochaine. Certains dirigeants ont des envies d'un autre manager, d'un niveau supérieur. Mais pour avoir le niveau supérieur, il faut le payer, et avoir des joueurs d'un autre niveau.
Parmi les joueurs de l'effectif actuel, Jacques Alingué a fait son premier passage à Dijon sous votre présidence, en 2014 ?
C'est Jean-Louis Borg qui l'a trouvé ! Il a beaucoup progressé depuis, il a fait de la musculation, il était bien encadré, il s'est pris dans le jeu. Et puis quand vous jouez avec un meneur comme Holston, qui vous sert bien, c'est plus facile.
Justement, David Holston, le meneur et capitaine emblématique, est arrivé quelques mois après votre départ...
Il est venu, il est parti ensuite en Turquie. Comme ils ne l'ont pas payé là-bas, au bout de neuf mois, il est revenu en France, son agent l'a remis à Dijon. À l'époque, il était encore jeune, il n'avait pas la maturation d'aujourd'hui. Son agent disait qu'il jouait bien, mais il n'avait pas la stature d'aujourd'hui.
Aujourd'hui, Holston, c'est quand même la pièce-maîtresse. Le problème c'est qu'il a 38 ans. L'année prochaine, s'ils veulent le garder, il faut le préserver. Il fait ses matchs le samedi, il ne joue pas le dimanche ni le lundi. Il faut que physiquement il puisse récupérer. Le problème du sport, et surtout le basket, c'est la récupération, c'est intensif maintenant.
La JDA Dijon est devenue la JDA Bourgogne Dijon, un groupe, avec des vignobles, des restaurants, ce n'est plus uniquement le basket. Quel regard portez-vous sur le développement du club depuis votre départ ?
Je ne regarde que le plan sportif. Le plan développement, ce n'est pas mon problème.
Vous président, vous n'auriez pas fait ça ?
Non. Je n'avais pas les possibilités financières de le faire, et une activité professionnelle tout à fait différente.