Ben pour moi c est bon j ai rentré un semi de papier lotus et un de cbd car jusqu en septembre ça va être long
Je trouve qu'il y a une sorte de déni de la part d'Oniangue concernant le maintien et ça me fait un peu peur.
ITW Giovan Oniangue (Dijon) : « Nous ne sommes pas dans l’optique du maintien » - Tribune 47
Cela dépendra des forces vives en présence, sans joueur supplémentaire par rapport à Bourg cela sera compliqué.
Je propose un truc : si on gagne contre Strasbourg (et j'y crois), plutôt que de remarques débiles sur le forum, du style je vous l'avait dit on se fait tous des bisous.
Ok ?
Je suis même prêt à embrasser Rogers (sur la joue, faut pas pousser ) et faire une cagnotte litchi pour acheter Thompson
Et pour signer Stéphane Gombauld à la JDA, on fait quoi ... ⁉️ 🤪
Je trouve cet interview de FR pas très rassurant :
Fabien Romeyer (JDA Dijon) : « Ça serait une erreur de ne pas regarder derrière nous »
Fabien, comment avez-vous vécu ce mois de mars, qui a provoqué des sentiments ambivalents avec une qualification en finale de coupe, et quatre revers en championnat ?
« On n’oublie pas qu’on n’a jamais joué à domicile en coupe, et qu’ on a décroché notre qualification au Mans après un match compliqué en championnat (à Limoges) et en étant diminué. À Trélazé, face à Pau on rend le match facile en étant très cohérent défensivement, puis on gagne une grosse bagarre face à Vichy, une des bonnes équipes de Pro B, en étant diminué et pour un 3e match en une semaine (à Bonn le mardi). Cette qualification est très importante et confirme les contenus globaux depuis la reprise (de mars). On a affronté des équipes très intenses (en BCL ou en championnat) avec des effectifs importants, là où nous, au même moment, on était amputé de 2, 3 voire 4 joueurs. Dans l’investissement, on n’a pas grand-chose à reprocher aux joueurs. De bons contenus vont créer les racines de futurs bons résultats. »
La BCL nécessite un curseur de concentration supérieure.
Fabien Romeyer
« Ce mois de mars on le savait compliqué au complet, il l’était encore plus avec des absents. On n’est pas récompensé, et ces matches perdus de 3-4 points, l’année dernière tu les prenais, sans vraiment mieux jouer. On a la chance de s’appuyer sur le centre de formation, sur les espoirs qui prennent une part active aux entraînements actuellement. Et qui ont apporté leur écot contre Galatasaray ou à Bourg, même s’il n’y a pas eu forcément la réussite aux tirs. »
Ce Top 16, était-ce un cadeau empoisonné pour Dijon, Cholet ou Strasbourg, car aucun ne s’est qualifié ?
« Quand on défie des effectifs de 12 joueurs, qui imposent leur dominante physique, et que nous, on est plutôt 6-7 (à part contre Boulogne/Levallois) , c’est compliqué. Mais je ne dirais pas que c’est un cadeau empoisonné, car les clubs français n’étaient pas si loin que ça de la qualif. La BCL nécessite un curseur de concentration, d’impact au maximum, et ce rythme supérieur t’aide pour le championnat, sauf si tu enchaînes les road trips en effectif réduit. C’est pour ça qu’on avait ajouté un 11e joueur en novembre ( voir encadré ). »
Les absences de David Holston ou Gregor Hrovat, par leur leadership, pèsent-elles plus lourd ?
« Toutes les blessures sont impactantes. Quand il manque un élément défensif ou un élément fort à la création, ce n’est pas simple. Avec les absents, il y a aussi des joueurs qui ont un temps de jeu supérieur à ce qui était prévu (Giovan Oniangue et Robin Ducoté ont joué 32 et 33 minutes à Bourg) . Cameron (Hunt) , sa blessure est aussi liée au fait qu’il doit jouer à un poste qui n’est pas le sien et qui demande plus de concentration en attaque et en défense. Retrouver David, ça rééquilibre l’équipe. Quand Jacques (Alingué) ne joue pas, Leyton (Hammonds) doit jouer beaucoup. L’alchimie est sans cesse remise en question. »
Vous allez défier vos adversaires directs pour les playoffs à domicile.
« On ne voit pas aussi loin. Tu fais cela quand tu as tout le monde. Là on prépare Strasbourg, en espérant récupérer des joueurs. L’approche, quel que soit l’adversaire, doit être la même : avoir une autonomie d’exigence. Avec des absents, on ne peut pas se permettre d’avoir un mec ou deux qui passent à travers. Le cadre défensif que Laurent (Legname) et le staff ont mis en place nous porte pour le moment, les joueurs sont investis, respectent ça. En attaque on aimerait mieux, mais on sait ce qu’il nous manque. »
Avec les pépins, il faut presque se mettre en opération commando pour le maintien.
« Ça serait une erreur de ne pas regarder derrière nous, surtout depuis la défaite à Levallois. Personne n’est à l’abri et ce qui nous intéresse, c’est gagner un ou deux matches qui arrivent pour sortir de la zone proche de la relégation […] Il faut que la prise de risque reste importante, comme on a pu le faire en mars, où on était en position de gagner les matches. On a les goal-averages sur la plupart des équipes derrière nous et c’est important. Je ne pensais que la saison serait aussi complexe, connaître autant de départs et de pépins physiques. On se questionne sur ce qu’on peut faire mieux sur les blessures, y a-t-il un moment de la saison où on est plus sujet aux blessures, même si on voit que c’est multifactoriel. »
Si Dijon avait eu la bonne idée de partir avec seulement deux joueurs US, la saison n’a pas laissé la marge de manœuvre espérée. « On avait l’option d’ajouter en cours d’année, par rapport aux résultats BCL, un joueur, car on s’est rendu compte qu’il y a souvent un ou deux blessés sur la période novembre-février », évoque Fabien Romeyer. « On a choisi de rééquilibrer sur le poste 1-2 (arrivée d’Ahmad Caver) , mais on a vu que ça impactait Jonathan (Rousselle). »
Autre problème, l’envie de départ d’Aleks Lazic. « Notre obligation, c’était d’avoir son remplaçant pour le laisser partir. On voulait trouver un joueur en forme, et ça ne se fait pas en claquant des doigts. On a pu avoir Leyton Hammonds, qu’on a fait sortir de Besiktas, comme on avait pu le faire pour Carrington ou Terrell Gomez. »
Un vivier plus réduit
« Dans le marché actuel, il y a de moins en moins de joueurs disponibles, car la G-League est très concurrentielle en termes de salaires, et offre une petite fenêtre vers la NBA », reprend Fabien Romeyer. « L’Asie a aussi des moyens financiers colossaux, donc ça tarit le nombre de joueurs. En plus pour ne venir qu’un mois, c’est presque impossible. Jawun Evans était sur le marché, car il a eu une blessure au genou en octobre. Physiquement il n’était pas prêt à jouer 25’, mais on a dû le faire jouer plus que prévu avec la blessure d’Ahmad […] Pour remplacer Gregor Hrovat, j’ai eu un (seul) nom. Alors que je parle avec des agents français et étrangers, et énormément de GM. Les bons joueurs, ils jouent, ils n’ont pas envie de changer de club maintenant », conclut-il.
Bonjour messieurs. Nous sommes là JDA Bourgogne Dijon. Pour cette nouvelle saison, vous devez avoir "une autonomie d'exigence". Vous avez trois heures pour mettre sur papier ce que cela signifie. Bonne chance et bon courage!